Passion romance au Salon du livre de Montréal
La romance contemporaine pour les jeunes adultes est un secteur en plein essor.
Dans son dernier essai, l’écrivain français se dit pour une littérature qui ne craint pas la confrontation.
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Photo: Jean-François Robert / MODDS Selon Édouard Louis, les normes pèsent sur la littérature comme sur le genre.
La romance contemporaine pour les jeunes adultes est un secteur en plein essor.
Au Salon du livre, j’ose en appeler à l’audace menant vers des écritures qui ne crient pas plus fort que les autres.
Entre satire et naturalisme, Andrew O’Hagan explore les liens entre argent et pouvoir dans le Londres d’aujourd’hui.
Sous la direction de Cassie Bérard, L’Instant même, Longueuil, 2025, 216 pages
Drew Hayden Taylor, traduit par Pascal Raud, Alire, Lévis, 2025, 439 pages
Marianne Marquis-Gravel, Leméac, Montréal, 2025, 160 pages
Valérie Bah, Éditions du Remue-Ménage « Les Martiales », Montréal, 2025, 288 pages
Annie Darisse-Desbiens, Tête première « Tenir tête », Montréal, 2025, 192 pages
Amy Spurway, traduit de l’anglais par Rachel Martinez, Éditions de la Pleine Lune, Montréal, 2025, 324 pages
Carle Coppens, Le Quartanier, Montréal, 2025, 200 pages
Auður Ava Ólafsdóttir, traduit par Éric Boury, Zulma, Paris, 2025, 197 pages
Jean Sioui, Hannenorak, Wendake, 2025, 112 pages
Philippe Sands met en lumière une histoire de ténèbres et de justice, au croisement de deux vies criminelles.
Caroline Leblond visite une mère qui se sent au bout de ses peines, mais qui sera guidée par une ancêtre.
Juli Delporte et Chloé Savoie-Bernard reviennent sur leur expérience dans le cadre de cet ouvrage collectif.
Ces prix récompensent les meilleurs roman, recueil, essai, pièce de théâtre et traduction de l’année 2025.
Le maître du suspense signe son 23e roman, où l’horreur se fait plus psychologique que sanglante.
L’autrice obtient cette récompense pour son roman «L’été de la colère».
L’édition 2026 «ne pourra plus se tenir» compte tenu du boycottage massif des auteurs, estiment les maisons d’édition.
Au Québec, entre 1900 et 1959, il se publie par année entre 1 et 34 livres signés par des femmes.
Sara Hébert propose une sélection de textes à la fois critiques et tendres sur les manières d’aller mieux.
Plus qu’un simple retour sur soi, l’autrice offre son autobiographie totale, «Le livre des vies. Mémoires écarlates».
La sélection de Laurie Bédard et de Yannick Marcoux.
Ce jour-là, les élèves sont entrés dans la classe au son de la musique de Noël.
Avec « Le printemps en novembre », l’auteur transforme la ferveur politique en matière littéraire.
Dans ce thriller psychologique glaçant, l’autrice décortique la mécanique de la manipulation amoureuse.
Samuel Lalande-Markon raconte sa traversée du Québec du sud au nord, et bien plus encore, dans son deuxième ouvrage.
Après une trop longue absence, Luc Chartrand propose une réflexion percutante sur l’écoterrorisme.
Entre le roman d’apprentissage et la comédie de campus, ce roman nous plonge au cœur des années de plomb italiennes.
Lauren Bastide envisage la solitude des femmes comme une rencontre avec soi.